Dans quel cas ?

Si vous vous sentez concernés par :

  • les transmissions inconscientes:  secrets,  non-dits, silences, conflits familiaux..
  • les troubles liés à la filiation ( questions sur l’origine du nom de famille par exemple, ou doute de paternité dans l’histoire familiale ou des conflits dans la fratrie,
  • une difficulté à occuper votre place dans la famille ( et par extension dans le corps social, relationnel affectif, professionnel…), un  sentiment d’exclusion récurrent, 
  • les relations familiales : désordres, dysfonctionnement intra-familial, conflits familiaux (fratrie, parents,) – situations de maltraitances (souvent sur plusieurs générations)
  • la parentalité :  devenir parent,( accès à la paternité, à la maternité), grand parent, la recomposition familiale,
  • les loyautés familiales ( dettes et injustices dans le système familial) : répétitions d’accidents, problématiques liées à l’argent..
  • symptômes et somatisations
  • les conduites d’échec : professionnel, affectif ( addictions, conduites à risques, sabotage de ses projets)
  • les trajectoires de migrations et leurs conséquences en 2ème et 3ème génération
  • les conséquences d’abus (psychologique, physique, sexuel)
  • les deuils non faits ( parents ou enfans décédés prématurément, les suicides, les morts brutales)
  • les traumatismes ( naissance,  impacts des traumas de l’histoire collective- les guerres – les évènements traumatiques générationnels) 

Alors la thérapie transgénérationnelle ( psychogénéalogie, analyse transgénérationnelle et constellations) est particulièrement bien adaptée en pouvant  vous apporter des réponses qui permettent de vous alléger, de vous  libérer des liens invisibles contenus dans  l’héritage familial.

Quel est votre objectif ?

  • Comprendre les transmissions inconscientes à partir des prénoms, dates, lieux, évènements de l’histoire familiale et donner du sens à sa place ?
  • Trouver des réponses à des problématiques actuelles, à des blessures récentes ou plus anciennes, à des souffrances enracinées ?
  • Rétablir l’appartenance et rencontrer d’autres dimensions de sa vie en restaurant les places exclues de l’arbre ancestral ?
  • Libérer des angoisses, des émotions irrépréssibles ou bien absentes en retrouvant la compréhension des loyautés inconscientes du système familial ?

Quels sont les outils ?

En pratique :

Il faut compter une dizaine de séances pour travailler sur son arbre en psychogénéalogie. Les séances durent 1 heure, et la fréquence est bi-mensuelle. Des aménagements sont possibles pour les personnes éloignées géographiquement ( séances 1 h 30 ou 2 h) 1 fois par mois. Chaque demande particulière est étudiée pour trouver l’aménagement le mieux adapté je conseille de participer à un ou 2 ateliers de constellations familiales afin de  sortir des programmations émotionnelles héritées. d’ancrer de nouveaux positionnements, de séparer sa propre biographie de l’histoire antérieure et s’ouvrir aux autres  possibles.

voir annuaire des praticiens(liste non exhaustive) ici

Il témoigne : 

Stéphane :  « Ayant expérimenté cette approche de la mise en place graphique de l’arbre généalogique, je peux dire que ce fut un moment fort en émotions dans la confrontation avec ma place généalogique ainsi que dans la « rencontre » avec les personnes vivantes ou décédées qui se placent dans mes liens de parenté. »

Je n’ai jamais connu aucun de mes grand-parents, et d’ inscrire leur noms ( en enquêtant auprès de mon entourage) sur cette représentation de mon arbre a été un moment très fort. Je me suis vu en tant que petit-fils d’eux. J’ai pu aborder mes difficultés à créer des relations de couple dans la durée et il est devenu clair pour moi que les décès de mes 2 grand-mères ( dont une par suicide) et les remariages avaient généré de fortes complications dans les relations familiales. J’ai pu réhabiliter ces 2 femmes  et replacer ma mère et mon père dans leur place générationnelle alors qu’ils étaient pris dans une grande confusion d’ordre et de place. Çà a changé ma perception des choses dans ma vie, dans mon relationnel, je me suis senti dans une densité que je ne connaissais pas. Çà m’a libéré aussi de mon rôle « protecteur » envers mes parents, j’ai retrouvé une joie d’enfant… »

Maureen Boigen@tous droits réservés

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